« Trois conséquences du top 5 font directement référence à un impact financier. Les PME françaises ont compris que leur trésorerie est en première ligne, mais prennent-elles les dispositions nécessaires pour se protéger ? La perte financière liée à une fraude ou une cyber-attaque est assurable, ce qui signifie que les entreprises n’ont pas à en supporter le préjudice. Pourtant, le choix de l’assurance reste minoritaire : moins d’une PME sur deux est assurée contre ces risques. Les PME sont conscientes de leur exposition, mais pas des moyens qui existent pour la réduire », explique Sébastien Hager, Responsable de la souscription assurance fraude chez Euler Hermes France.